Le Sagyrc poursuit depuis 20 ans une stratégie d’échec sur le barrage à Francheville et nourrit de faux espoirs aux riverains concernés par les inondations.

L’Etat n’accordera pas l’autorisation administrative du barrage à Francheville, compte tenu d’une réglementation environnementale plus contraignante que par le passé.

Francheville ne sera pas la victime écologique d’un barrage destructeur de biodiversité, au profit d’habitations autorisées en zone inondable

Notre détermination contre le barrage à Francheville est totale

Tous anti barrage propose des solutions alternatives qui améliorent l’existant, tout en protégeant notre biodiversité.

Nous continuerons à nous battre contre cette idée qui constituerait à planter des arbres sur 20 HA pour compenser les milliers d’arbres qui seraient détruits à Francheville.

Samedi 27 novembre s’est tenu un séminaire à Vaugneray, ouvert au public sur l’étude de solutions alternatives. 

Pour Florestan Groult, vice-président du SAGYRC : “J’insiste sur le fait qu’à ce stade, tous les possibles sont ouverts,  aucune solution n’est privilégiée, ni pré-fléchée. Les opportunités d’évolutions seront étudiées ensemble et définies collectivement. J’y engage ma responsabilité comme garant du cadre de concert’eau”. 

LA SEULE SOLUTION ALTERNATIVE: UN BARRAGE

Les membres du collectif étaient présents pour comprendre les solutions alternatives proposées. Aucune solution alternative n’a été mise en avant sauf la construction d’un barrage en remblai ou en roche.

• Barrage en remblai : un ouvrage de 19 mètres de haut (5 mètres de moins que le projet initial), 195 m de large et et 95 m d’épaisseur

• Barrage en roche : un ouvrage de 19 mètres de haut, 76 mètres d’épaisseur, et 195 m de large

  Ce barrage en remblai serait également composé d’un système de vannes avec une tourelle de 5 mètres soit la hauteur initiale du barrage.

  Caractéristique du projet de barrage prévu dans sa forme actuelle :

  24 m de haut / 195 m de large / 92 m d’épaisseur

Que dire face à cette tromperie ? Qu’en est-il des multiples solutions alternatives qui, mises, bout à bout permettraient de réduire le débit de l’Yzeron en cas de crue ?

Notre désarroi grandit mais nous n’abandonnerons pas !

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Le collectif Tous Anti Barrage